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Nous Conseil National De Libération réunis en ce 14.07.21 déclarons:

Dans une procédure légale, les recherches, les études et les tests qui sont faits sur les médicaments avant leur mise en vente, sont financés par les Laboratoires et non par le contribuable.

Dans une procédure légale, les médicaments qui sont testés ne peuvent pas être vendus avant la fin de leurs phases d’essai clinique.

Contrairement à ce que prétendent le gouvernement et les médias de la propagande, les essais cliniques des injections à ARN messager ne sont pas terminés. Ils sont en phase 3. C’est-à-dire qu’ils sont encore en période de test.

C’est donc en contravention avec la procédure légale, que ces tests sont financés par la Sécurité Sociale alors qu’ils devraient l’être par les Laboratoires puisque les injections d’ARN messager sont toujours en phase de test clinique.

C’est également en contravention avec la procédure légale, que ces injections d’ARN messagers sont mises en vente alors que la Loi interdit de mettre en vente un produit pharmaceutique dont les essais cliniques ne sont pas achevés.

De plus, les autorisations de mise sur le Marché conditionnelles ne sont admises que pour, je cite, « des médicaments qui répondent à un besoin médical non satisfait. »

Or, en ce qui concerne la Covid, le besoin médical est satisfait puisque de nombreux traitements dont l’efficacité est avérée existent, et ce depuis le début de ladite pandémie.

C’est donc normalement aux Laboratoires de financer les tests cliniques et non pas aux citoyennes et aux citoyens français, par l’intermédiaire de la Sécurité sociale.

L’hystérie vaccinale organisée par l’actuel gouvernement est donc un détournement d’argent public au profit d’entreprises privées. Détournement qui se fait sous nos yeux et sous tutelle de l’Etat.

C’est un scandale d’Etat : un de plus que subissent les Françaises et les Français, mais cette fois, c’est le scandale de trop.

D’autre part, l’article 55 de la Constitution française établit que les Traités internationaux ne peuvent pas être remis en question par des Lois nationales. Or, la résolution 2361 APCE, article 7.3.1 et article 7.3.2 du 28 janvier 2021 du Conseil de l’Europe interdit toute forme de discrimination et d’obligation vaccinale.

Une résolution du Conseil de l’Europe ayant valeur de traité, Voilà qui met donc à terme toute forme d’obligation et de discrimination vaccinale hors la loi. Pour rappel, la vaccination obligatoire et la discrimination vaccinale sont également contraires :

  1. au Serment d’Hippocrate
  2. au Code de déontologie médicale
  3. au Code de Nuremberg
  4. à la Déclaration de Genève
  5. à la Déclaration d’Helsinki
  6. à la Convention d’Oviedo
  7. à la Loi Kouchner
  8. à l’Arrêt Salvetti
  9. à l’Article 16-1 du Code civil français, qui dit que chacune et chacun « a droit au respect de son corps et que le corps humain est » Aussi, nous ne polémiquerons pas aujourd’hui sur le bien-fondé scientifique de ce prétendu vaccin.

Nous voulons simplement rappeler aux Françaises et aux Français que dans tous les pays du monde, (à part peut-être la Corée du Nord ), personne n’a le droit d’obliger un être humain à se faire injecter une substance qu’il ne veut pas qu’on lui injecte.

Dès lors qu’un élu du peuple français prétend le contraire, il se disqualifie lui-même et met ainsi fin par lui-même à son propre mandat.

Il est donc temps de prendre acte du comportement démissionnaire de celui qui se prétend aujourd’hui le Président de notre République.

Le fait qu’il ait été élu par la majorité des votes exprimés, (ce qui, de notre humble avis, reste à démontrer), ne lui donne pas pour autant le droit de faire n’importe quoi, et encore moins de contraindre la population dont il est l’employé et non le maître.

Le fait qu’il soit dit élu Président des Françaises et des Français, ne lui donne pas pour autant le droit de jouer avec leur santé, et de les transformer par la force en cobayes, pour servir des intérêts particuliers.

VIVE LA FRANCE!

Le Conseil National de Libération